Combien ça coute ?

 

Le coût de la médiation familiale peut varier en fonction de plusieurs facteurs, notamment les revenus des participants, le nombre de séances nécessaires, et le lieu de la médiation.

 

Un barème national de s participations familiales est appliqué par les services. Il s’appuie sur le principe du paiement d’un tarif par séance avec un taux progressif, en fonction des revenus. La participation familiale s’entend pour chaque personne.

 

Une séance peut couter entre 2 € à 131 € maximum par personne.

 

Si la médiation est ordonnée par un juge, il est possible de bénéficier de l’aide juridictionnelle, qui peut couvrir tout ou partie des frais en fonction des ressources de chaque parent.

Combien de temps cela va durer ?

 

En général, une médiation peut nécessiter entre 2 et 7 séances, chaque séance durant environ 1h30 à 2 heures.

Appel à projet “Parentalité 2025”

 

Des documents de cadrage pour vous aider sont téléchargeables ici :

 

Qu’est-ce que l’école ?

 

L’école est une institution pour tous les élèves de la république, permettant l’instruction et l’éducation.

 

L’entrée à l’école est une étape importante dans la vie des enfants.
L’école est un lieu de vie et d’apprentissage.
Un lieu où l’enfant va se construire dans sa relation à l’autre, par des rencontres, en expérimentant la différence. Un lieu d’éveil et de développement où il va apprendre à penser, réfléchir, s’exprimer et à comprendre le monde qui l’entoure.

 

L’école assure à votre enfant :

 

  • La Liberté : celle de penser, de réfléchir, de s’exprimer ;
  • L’Égalité : celle de recevoir un enseignement quels que soient ses origines ou son milieu social ;
  • La Fraternité : apprendre à vivre ensemble dans le respect et la tolérance.

Mon enfant est à la maternelle : comment puis-je l’accompagner ?

 

Vous pouvez discuter avec lui, l’encourager à vous raconter sa journée à l’école, lui demander comment s’est passé sa journée, discuter de ce qu’il a produit en classe,

 

Regarder avec lui le cahier de vie et le cahier de liaison.

 

Afin de l’aider à progresser, vous pouvez jouer avec lui, lui lire des livres, décrire les illustrations ensemble.
L’éveiller, répondre aux questions qu’il se pose, vous interroger avec lui sur l’environnement ou partager des activités avec lui.
Dessiner, peindre, découper et coller permet de cultiver l’imagination.
Se promener, aller au parc, courir observer, faire du sport.
Vous pouvez également participer aux événements organisés par l’école : sorties, spectacles, kermesse… votre présence favorise la confiance en soi de votre enfant.

Mon enfant est à l’école élémentaire : comment puis-je l’accompagner ?

 

En sortant de l’école, créez un petit moment de complicité avec votre enfant.

 

Demandez-lui comment s’est passé sa journée, Soyez prêt à le rassurer s’il a rencontré une situation difficile, à l’encourager s’il évoque des progrès et des réussites, mais dans tous les cas n’oubliez surtout pas de le féliciter pour ses efforts.

 

Vous pouvez regarder avec lui le cahier de vie et le cahier de liaison, passer en revue avec lui ce qu’il a appris en classe, l’accompagner pour réviser ses leçons, le faire réciter…

 

Afin de l’aider à progresser, vous pouvez jouer avec lui, lui lire des livres, l’éveiller, répondre aux questions qu’il se pose, vous interroger avec lui sur l’environnement …
Participez aux événements organisés par l’école : sorties, spectacles, kermesse… votre présence favorise la confiance en soi de votre enfant.
Ne vous trompez pas d’objectif : savoir l’alphabet n’est en aucun cas un critère suffisant pour apprendre à lire et compter jusqu’à 50 ne permet pas davantage de maitriser la numération. Vous pouvez plutôt partager des activités avec lui :

 

  • Faire un gâteau : lire la recette, mesurer les ingrédients ;
  • Jouer à un jeu et le laisser faire l’arbitre pour compter les points ;
  • Jouer aux cartes, aux dés, aux dominos pour additionner et soustraire ;
  • Jouer au marchand pour fixer des prix, rendre la monnaie, apprendre à calculer en s’amusant.

Le sommeil de l’enfant

 

 

Le sommeil de l’enfant est un enjeu de santé publique. Il contribue à son bien-être, à la bonne acquisition des apprentissages, à la maîtrise de ses émotions”

 

  • un enfant de 3 à 5 ans a besoin de 10 à 13 heures de sommeil par jour,
  • un enfant de 6 à 13 ans a besoin de 9 à 11 heures de sommeil par jour,
  • un jeune de 14 à 17 ans, a besoin de 8 à 10 heures de sommeil par jour.

 

Avant de se coucher, il faut surtout éviter les écrans ou les jeux”, pour ne pas exciter l’enfant.
Selon l’OMS, les écrans peuvent en effet entraîner une baisse de la qualité du sommeil.

L’Histoire du soir

 

Durant les vacances, on a tendance à oublier le rituel qu’est l’histoire du soir. Il a pourtant de nombreux avantages et permet d’installer un moment de calme avant le coucher. C’est aussi l’occasion de réadapter les plus petits à l’écoute attentive des histoires, comme à l’école.
« Vous pouvez leur poser quelques questions à la fin pour voir s’ils ont compris. Ou essayer de faire un casse-tête pour renforcer leur attention et leur concentration, et les aider à se familiariser avec ce type d’exercice.»

Écoute parents

Pour faire le point avec un professionnel sur ce qui ne va pas avec votre enfant et trouver des pistes pour avancer.

Écoute - Gestion des conflits - Apaisement des tensions

Vacances à la maison

Ce n’est pas parce que vous restez à la maison que vous ne pouvez pas voyager !

 

Quelques idées farfelues :

 

  • Décrétez la journée « à l’envers » où chacun devra s’habiller à l’envers, répondre le contraire, demander le contraire… idées
    mélangées et rires garantis !
  • Ne faites que deux repas par jour, (déjeuner-dîner ou dîner-souper). Vous pouvez y ajouter une collation o cielle dans la soirée… des mini pizzas ou du pop-corn…
  • Le lendemain d’une journée plein air, faites la journée pyjama ! En se levant, on s’habillera… en pyjama !
  • Établissez un souper qui ne sera composé que de desserts… chaque membre de la famille pourrait faire sa propre recette !
  • Organisez une grande expédition dans une contrée lointaine. Choisissez une destination et découvrez-la en parcourant des sites Internet, des livres et des ouvrages de référence !
  • Recherchez les habitudes culinaires d’un pays ou d’une région et organisez un repas « étranger » avec les enfants et les amis
  • Faites une soirée dessin en imaginant des, des plantes ou autres créatures imaginaires
  • Habillez-vous chic pour une soirée ciné à la maison
  • Visitez les musées en ligne
  • Invitez les grands-parents pour une soirée souvenir
  • Organisez une journée piscine avec des voisins ou amis
  • Créez une fresque murale avec de la peinture à l’eau ou des autocollants en mousse
  • Faites un jardin potager en famille et admirez la pousse durant toutes les vacances
  • Construisez une cabane éphémère dans votre jardin ou sur votre véranda
  • Campez dans votre séjour
  • Dessinez une marelle géante à la craie
  • Organisez une chasse au trésor dans la maison
  • etc…

Impact des vacances sur le développement des enfants

 

 

Selon les spécialistes en apprentissage cognitif, il existe cinq domaines spécifiques affectés positivement par les périodes de repos, de loisir et de détente, que voici :

 

  • Le quotient intellectuel
  • La capacité de concentration
  • La consolidation du caractère
  • La capacité de se libérer du stress
  • La possibilité de créer des liens affectifs pour les personnes et les lieux

 

En effet, ceci est possible, car, pendant le temps libre dont disposent les enfants pour jouer pendant les vacances, ils libèrent des neurotransmetteurs qui stimulent la recherche d’émotion grâce à l’expérimentation et au contact avec le milieu environnant. Le résultat est un développement renforcé des neurones et des connexions cérébrales.

Toutefois, pour que ces expériences libèrent et activent les capacités cognitives de vos enfants, il est nécessaire d’organiser des activités récréatives qui les motivent pendant les vacances.

Nous rappelons que les vacances sont le moment idéal pour renforcer l’affect et cultiver l’estime de soi. Il est important que les enfants se sentent valorisés dans leur participation à l’unité familiale. En e et, ceci les aidera à avoir des interactions saines à l’école.

 

Charades

 

Mon premier est la répétition d’un son qui se répète.
Mon deuxième est un pronom personnel.
Mon tout est un lieu fréquenté par les élèves.

Petite blague du jour

“Maman, je t’aime de tout mon cœur, le milieu, le devant, le derrière… de toute la forme de mon cœur !”

Lucien, 5 ans
Source : https://momesparents.fr

“Manman sé bol a kouvèti”

Traduction : Une mère c’est comme un bol avec couvercle
Définition : C’est-à-dire qu’elle protège toujours son enfant même quand celui-ci fait des choses répréhensibles ou contraires à la loi, elle le défend « bec et ongle », même quand il est dans son tort, comme s’il restait, à vie « son petit ».
Est-ce toujours vrai ?

Source : Pwovèb kréyol an tan lontan, Martin MAURIOL Edition ORPHIE

Semaine nationale de la médiation familiale

 

Du 18 au 23 novembre 20 24, c’est la Semaine Nationale de la Médiation Familiale
Cet événement annuel vise à promouvoir la médiation familiale et à sensibiliser les familles.

 

Parents, c’est pour vous l’opportunité de découvrir comment la médiation familiale peut vous aider à gérer les conflits de manière constructive et apaisée.

 

Cette semaine c’est l’occasion de découvrir la médiation et de participer à des événements organisés par les 3 services agrées de Martinique :

 

 

GAIACS PROVIDENCE

 

GAIACS PROVIDENCE, vous invite à échanger avec une MEDIATRICE FAMILIALE en direct, lors des émissions radiophoniques :

  • « Cocorico de Violette, l’appel du jour », sur SEM RADIO | 89.7 en direct de 7 h 30 à 8 h 30 le mardi
    19 novembre 2024 (retranscription à 17 h 00) ; Retrouvez le replay de l’émission sur les réseaux
    sociaux.
  • « Matin gagnant » sur RADIO SUD EST | 89.3 à 10 h 00 le vendredi 22 novembre 2024

 

 

APMF/AF

 

 

APMF/AF, vous convie à sa JOURNEE PORTES OUVERTES le vendredi 22 novembre 2024 de 10 h 00 à 17 h 00.
Contact : 06 96 39 15 01 ou 05 96 63 53 04

 

 

 

ALIAD

 

Mardi 19 novembre 2024 – Une médiatrice familiale sera présente au journal de 19 h 00 sur vià ATV.

Lundi 25 novembre 2024 – “Interview d’une médiatrice Familiale”, retrouvez, Madame BOROT Murielle, dans le journal sur RCI.

 

Si vous souhaitez plus d’information sur les services de médiation familiale, consultez la rubrique « LA MÉDIATION FAMILIALE ».

La rentrée scolaire a eu lieu et avec elle, un certain nombre de changements : nouvelle école, nouvel enseignant, nouvel emploi du temps, retrouvailles avec les anciens camarades, et… retour des devoirs…, des leçons, des routines,….et des contraintes !
Lors de la rentrée scolaire, une certaine effervescence s’empare des familles, entre appréhensions, achats et démarches administratives. « La rentrée est souvent plus chargée d’angoisses pour les parents que pour les élèves »,

 

Aujourd’hui, les pleurs sont finis et les enfants ont repris le rythme scolaire, les routines se sont réinstallées à la maison comme à l’école et le premier trimestre est bien entamé.
Les familles vivent maintenant au rythme de la scolarité de leurs enfants.

 

Un des meilleurs moyens d’aider votre enfant à réussir sa scolarité est d’établir une routine régulière. Cela inclut :

 

  • Des heures de coucher et de lever fixes : Un sommeil suffisant est crucial pour l’attention et l’apprentissage.
  • Des repas équilibrés : L’alimentation joue un rôle dans la concentration et l’énergie.
  • Un temps dédié aux devoirs : Créez un espace calme et propice pour les études à la maison.

 

Pour favoriser l’autonomie de votre enfant, vous pouvez :

 

  • Encourager sa prise de responsabilité : Impliquez votre enfant dans la préparation de son sac, de ses affaires de sport, et dans l’organisation de son emploi du temps.
  • Renforcer les compétences organisationnelles : Aidez votre enfant à planifier ses devoirs et activités, tout en évitant de tout faire à sa place.

 

La rentrée est un bon moment pour faire le point sur la santé des enfants. Pensez à faire vérifier la vue, l’audition, les dents, les vaccins …
En cas d’allergies alimentaires, il est indispensable de faire une demande de projet d’accueil individualisé (Pai) auprès de l’établissement scolaire afin de décrire précisément le régime alimentaire de l’enfant.

 

« N’hésitez à rencontrer l’enseignant pour expliquer les difficultés de votre enfant »

Charge mentale des enfants

 

Certains enfants peuvent avoir peur de l’inconnu (changement d’école, de niveau scolaire, de cadre…perte de repères..) ou de l’échec scolaire
(difficulté d’apprentissage, incompréhension…). S’organiser pour ranger sa chambre, tenir correctement son crayon, rendre ses parents fiers…

 

Le temps des « évaluations scolaires » a commencé et cela peut être aussi une source d’angoisse autant chez les parents que chez les enfants

 

Ces objectifs de performance peuvent devenir sources de stress pour un enfant et alourdir sa charge mentale.

 

La plupart des parents s’inquiètent de voir leur enfant grandir, changer de classe en passant à un niveau supérieur, comme c’est le cas au CP ou en 6ème au collège. Et souvent, les petits écoliers ressentent l’inquiétude de leur parent.
Il est parfois difficile de savoir si votre enfant souffre d’une peur de l’école, surtout s’il ne l’exprime pas clairement. Certains signes peuvent mettre la puce à l’oreille comme des manifestations physiques d’angoisse, au moment de partir pour l’école, ou la veille de la reprise des cours. Cela peut être :

 

  • Repli sur soi, tristesse,
  • Désintérêt pour toutes les activités, même pour jouer,
  • Irritabilité,
  • Troubles du sommeil,
  • Douleurs au ventre,
  • Vomissements,
  • Difficultés à s’endormir,
  • Fatigue,
  • Pleurs,
  • Accès de colère,
  • ….

 

 

D’une manière générale, dès lors que vous constatez une réelle rupture avec ce que l’enfant était avant, il faudra agir. L’essentiel est d’en parler et de rester dans l’échange :

 

  • Adoptez un ton apaisant pour rassurer votre enfant,
  • Valorisez-le, dites-lui que vous avez confiance en lui et que vous êtes convaincu de sa réussite scolaire
  • Essayez de relativiser et de vous détendre.
  • Passez le relais à d’autres adultes (famille, amis, voisins)
  • Échangez avec d’autres parents. Pouvoir partager ses questionnements en dehors du cercle familial, permet de réfléchir à d’autres manières de fonctionner qui ont porté leurs fruits ; Alors rejoignez le Reaap et participez à un groupe d’échange de parents
  • Proposez à votre enfant de partager un moment spécial, tous les jours à heure fixe. Un quart d’heure durant lequel vous pourrez être totalement disponible pour votre enfant en le laissant décider de ce qu’il fera de ce moment
  • Faites les enfants participer aux taches quotidiennes de la maison avec vous ; cela aide à développer l’autonomie, à prendre confiance en soi, et à responsabiliser les enfants.
  • Allégez l’emploi du temps de vos enfants, essayez de lui dégager du temps pour lui
  • Arrêtez de leur dire « dépêche-toi » (la notion du temps est une notion très complexe que l’on n’acquiert pas complètement avant 11-12 ans)
  • Réduisez les temps devant les écrans, faites des pauses,
  • Passez plus de moments en famille…
  • En cas de blocage, adressez-vous à un professionnel (pédopsychiatre ou psychologue)

 

Le principal est d’opter pour la méthode adaptée à votre personnalité et à celle de votre enfant. Et, surtout, laissez à vos enfants le temps de grandir !

 

 

Si vous vous montrez serein, votre enfant sera, par assimilation, plus rassuré et confiant.
Les enfants ont surtout besoin de réconfort et de se projeter.
Vous pouvez aussi lui raconter vos propres souvenirs d’école, ce que vous faisiez pour vous détendre, etc….

Les évaluations à l’école

 

C’est très important pour votre enfant que vous l’accompagniez dans le travail scolaire, aidez-le en suivant son travail, ses résultats.
Echangez avec votre enfant sur ses résultats, ses évaluations ;
Faites le point avec votre enfant sur ses acquis, ses réussites, ses progrès mais également ses difficultés.
Pensez à féliciter votre enfant quand il a de bons résultats et encouragez-le dans ses progrès s’il rencontre des difficultés, mettez en place une organisation pour l’aider avec son accord.

 

Il existe différents types d’évaluation :

 

Les évaluations du quotidien sont des évaluations qui aident votre enfant à fournir un travail régulier, qui permettent de poser un diagnostic sur ses connaissances et ses compétences, de vérifier ses acquisitions, de suivre ses progrès mais aussi les éléments qu’il doit retravailler.

 

Les bilans périodiques (les “bulletins”) renseignent l’élève et sa famille sur les acquis, les progrès et les difficultés éventuelles observées par l’enseignant en classe et lors des évaluations. Du CP au CM2, un indicateur simple évalue les résultats de l’élève par rapport aux objectifs d’enseignement : non atteints, partiellement atteints, atteints, dépassés.

 

Les bilans de fin de cycle indiquent la progression globale de votre enfant tous les 3 ans. À l’école élémentaire, il intervient à la fin du cycle 2 (CP-CE2). Le bilan du cycle 3 (CM1-6e) aura lieu en fin de 6e. Grâce à un indicateur simple (maîtrise insuffisante, fragile, satisfaisante, ou très bonne), les bilans évaluent les acquis des élèves sur les huit composantes du socle commun. Ils comportent également une appréciation synthétique globale.

 

Les évaluations nationales de CP, de CE1 et de 6e permettent, de manière anonyme, de positionner votre enfant au regard d’une tranche d’âge et d’une population à l’échelle nationale. Ces évaluations permettent également aux enseignants de proposer un accompagnement adapté aux besoins de votre enfant. Ces évaluations ne sont ni prises en compte pour le bilan périodique ni pour le bilan de fin de cycle.

Parents, informez-vous sur la scolarité de votre enfant

 

Vous avez le droit d’être informé sur la scolarité de votre enfant. Contactez les enseignants et les représentants des parents d’élèves
Différents moyens d’information vous seront proposés pour suivre le travail et la scolarité de votre enfant :

 

  • Livret scolaire
  • Bulletin scolaire
  • Carnet de correspondance
  • Le cahier de texte numérique
  • Les réunions d’information
  • Les réunions parents professeur

 

Si vous rencontrez un problème lié à la pédagogie, adressez-vous au professeur principal de la classe.
Si votre problème concerne les absences et les questions de comportement, adressez-vous au conseiller principal d’éducation (CPE).

 

Le chef d’établissement et les enseignants doivent faire le nécessaire pour répondre à vos demandes d’information et de rendez-vous. Toute réponse négative doit présenter les motifs.

 

Les représentant des parents d’élèves participent aux conseils de classe, aux conseils d’administration et aux conseils de discipline
Ils peuvent vous fournir des informations sur la scolarité de votre enfant.

Les activités extrascolaires

 

C’est souvent à la rentrée que les choix d’une activité sportive, culturelle ou de loisir est faite. Ces activités permettront aux enfants de développer des compétences variées comme l’équilibre, la dextérité, le sens du rythme… C’est très bon pour son développement
psychomoteur et cela va aider les enfants à avoir confiance en eux.
La pratique d’une activité en dehors de l’école et du cercle familial permettra aussi aux enfants de montrer d’autres facettes de leur personnalité ; et qui sait… des talents peuvent naitre.

 

Une multitude d’offre existe : football, natation, escrime, tennis, judo, handball, volley-ball, tennis, arts plastiques, théâtre, piano, violon, guitare.

Pour trouver l’activité adaptée, demandez des séances d’essai sans engagement. Lors des journées des associations ou autres forums des associations vous pouvez aussi découvrir un grand nombre de disciplines et aussi prendre connaissance des associations proches de votre logement.

Le principal, c’est de trouver une activité avec une approche ludique et qui plaise à l’enfant.

 

 

Ces activités représentent le plus souvent un coût. Pour soulager le budget familial, contactez les mairies, associations de quartiers, centres socioculturels, fédérations sportives, maisons des jeunes, etc…qui proposent des loisirs variés à des tarifs plus abordables.
Utilisez les Tickets loisirs proposés par la Caf, en fonction de vos revenus.

Quelles activités sportives pour les tout-petits ?

 

L’activité sportive dès le plus jeune âge permet de renforcer les muscles, de tonifier le corps des tout-petits ;
C’est l’occasion de s’éveiller, de découvrir, de jouer et de partager, d’apprendre à entretenir sa santé physique et de s’habituer à rester actif.
Trois heures par jour : c’est la durée d’activité physique journalière recommandée pour les moins de 6 ans.

Cinq activités sportives adaptées aux 0-6 ans

 

 

La natation : accessible dès la naissance (bébés-nageurs), permet d’être à l’aise dans l’eau – contribue à détendre et à calmer les petits.

 

 

La gymnastique : activité accessible dès l’âge d’un an. Sous forme de circuits dotés de tapis, de tunnels, de poutres, d’obstacles à franchir…
ces ateliers permettent aux jeunes enfants de se déplacer et se dépenser, en toute sécurité – véritable éveil à la motricité.

 

 

Le vélo : dès 3 ans. « la draisienne » (vélo sans pédales, sur lequel l’enfant avance à la force de ses jambes) permet aux tout-petits de maîtriser progressivement leurs appuis, leur équilibre… et à terme, les rudiments du cyclisme. L’enfant gagne en autonomie et acquiert de la confiance en lui, au fur et à mesure qu’il progresse.

 

 


L’éveil athlétique : Dès que le tout-petit sait marcher, de nombreuses activités peuvent l’aider à mieux appréhender son corps, son équilibre et son environnement : sauter à l’aide de repères au sol, lancer de petites balles, rattraper de plus gros ballons…
L’objectif est de permettre d’utiliser tout ce dont ils disposent grâce à leur corps. Ils apprennent le respect de leur corps et découvrent leurs limites, ils prennent conscience de leurs capacités…Tout un apprentissage pour comprendre comment mieux bouger et se déplacer.

 

 

Les activités collectives : Échanges de ballon, jeux de relais… autant d’activités qui permettent aux enfants dès 2 ans, d’observer les autres
et de partager avec eux certaines valeurs du vivre ensemble de manière ludique, dans le partage

Des pratiques d’autant plus bénéfiques qu’elles évitent aux plus jeunes d’être exposés aux écrans avant l’âge de 3 ans.

Les enseignants, comme les parents, ont légitimement un rôle éducatif : ils participent à l’accompagnement de l’enfant dans son devenir d’adulte et de citoyen, en lui donnant des habitudes, des représentations et des valeurs conformes aux attentes de la société dans laquelle il va évoluer.

Il leur est même demandé d’œuvrer ensemble en tant que membres de la « communauté éducative ».
La mission conjointe de la famille et de l’école, c’est d’aider à la formation d’un individu autonome.

Ce sont les vacances

 

 

Alors que plus de deux parents sur cinq jugent difficile leur rôle, les vacances constituent une pause, un moment de répit hors des contraintes du quotidien pour se retrouver, et se ressourcer.

 

C’est le moment de changer de rythme, de profiter de la vie et des vacances.

 

S’il est vrai que les enfants ont besoin de repères stables, ils ont aussi besoin de vacances, de sentir plus de souplesse dans la structure familiale.

 

Le temps des vacances est le bon moment pour faire des « accros » à la routine où tout est planifiée au quart de tour.

 

Les vacances scolaires sont les occasions pour organiser des activités différentes et des escapades en famille.

 

Parents, profitez de cette période pour partager du temps entre vous et vos enfants. Cohésion familiale, épanouissement personnel, développement des solidarités familiales, farnienté…

 

C’est le moment de couper de la routine scolaire pour planifier des activités différentes.

 

En fonction de l’âge des enfants, changer le rituel habituel permet de varier les habitudes, de profiter de moments privilégiés de ressourcement et de resserrement des liens familiaux aux bénéfices multiples.

 

Pensez à demander aux enfants ce qu’ils ont envie de faire ou de ne pas faire…ce sont leurs vacances après tout !

 

 

 

Vous pouvez opter pour des vacances remplies de petites activités ici et là, des sorties d’une journée ou deux, des activités familiales ou avec des amis plutôt que deux ou trois semaines de vacances « en bloc ».

 

Après une année intense, plusieurs parents ont besoin de décrocher de leur quotidien structuré et n’ont parfois ni les moyens nanciers, ni l’énergie, ni l’envie de planifier de grosses vacances à l’extérieur.

 

 

 

Saviez-vous qu’on observe de plus en plus de jeunes et ce, dès le primaire, en burnout ?

 

Beaucoup de jeunes ont tellement d’activités dans leur horaire qu’ils n’ont jamais le temps de souffler, de ne rien faire, de s’ennuyer.

 

L’ennui est sain, nécessaire et utile pour que les enfants apprennent qui ils sont, ce qu’ils aiment faire et comment gérer ce sentiment universel et tout à fait normal.

 

 

 

 

 

 

Octroyez-vous le droit de ne pas tout organiser, ou tout planifier à l’avance.
Laissez la place à l’ennui, à la paresse en pyjama, au farniente…

 

Prenez le temps de vivre, de pro ter de chaque moment, de savourer le plaisir d’être ensemble. Ces moments qui seront pour vos enfants un peu magiques, parce que les choses ne sont plus tout à fait comme à l’habitude.

 

Saviez-vous que prendre des vacances avec ses enfants aide à améliorer leur quotient intellectuel, leur créativité, et, qui plus est, renforce les liens familiaux ?

 

Malgré ce que l’on pourrait en penser, les vacances n’impliquent pas une mise en veille de l’apprentissage, bien au contraire.

 

 

En effet, les vacances sont une autre façon de stimuler les enfants afin qu’ils puissent absorber les connaissances qu’ils apprendront à l’école à l’avenir. Elles sont également l’occasion de mettre en pratique ce qu’ils ont appris.

 

En conséquence, les vacances ne sont en aucune façon une gêne ou un caprice, mais bien une nécessité et une opportunité.

 

Les spécialistes de l’éducation des enfants et des adolescents ont mis en valeur une série de bienfaits apportés par les vacances, qui renforcent l’apprentissage de nombreuses façons, et, par ailleurs, aident à renforcer les liens affectifs familiaux.

 

Les vacances possèdent de nombreux bénéfices.

 

 

Le fait de prendre des vacances, et plus généralement, de profiter de moments de repos, donnent aux enfants et aux adultes la possibilité de se libérer du stress accumulé par l’accomplissement de leurs obligations.

Les dernières actions REAAP programmées

La médiation familiale présente plusieurs avantages par rapport aux procédures judiciaires traditionnelles :

 

▶︎ Moins coûteuse : La médiation est généralement moins chère que les procédures judiciaires, car elle nécessite moins de temps et de ressources

 

▶︎ Plus rapide : Les conflits peuvent souvent être résolus plus rapidement par la médiation, évitant ainsi les délais souvent longs des tribunaux

 

▶︎ Confidentialité : Contrairement aux audiences publiques des tribunaux, la médiation est un processus confidentiel, ce qui permet de protéger la vie privée des familles

 

▶︎ Contrôle et flexibilité : Les parents ont plus de contrôle sur le résultat, car ils travaillent ensemble pour trouver des solutions mutuellement acceptables, plutôt que de laisser un juge décider

 

▶︎ Réduction des conflits : La médiation encourage la communication et la coopération, ce qui peut aider à réduire les tensions et à maintenir des relations familiales plus harmonieuses

 

▶︎ Adaptée aux besoins des enfants : La médiation permet de mieux prendre en compte les besoins et les intérêts des enfants, en impliquant les parents dans la recherche de solutions adaptées au bien-être des enfants

 

▶︎ Respect des accords : Les accords issus de la médiation sont souvent mieux respectés par les parties, car ils ont été élaborés conjointement et de manière consensuelle

 

 

Ces avantages font de la médiation une option attrayante pour de nombreuses familles cherchant à résoudre leurs différends de manière constructive et apaisée.

Calendrier des vacances scolaires

 

Congés de Toussaint du samedi 19 octobre au lundi 04 novembre 2024
Congés de Noël du samedi 21 décembre 2024 au lundi 06 janvier 2025
Congés de Carnaval du samedi 22 février au lundi 10 mars 2025
Congés de Pâques du samedi 12 avril au lundi 28 avril 2025
Début des grandes vacances samedi 05 juillet 2025

 

Les classes vaqueront le vendredi 30 mai 2025 et le samedi 31 mai 2025.
Le départ en vacances a lieu après la classe des jours indiqués.
La reprise des cours s’effectue le matin des jours indiqués.

 

Les vacances débutant le samedi, pour les élèves qui n’ont pas cours ce jour-là, le départ a lieu le vendredi après les cours.

À quoi sert l’assurance scolaire ?

 

L’assurance scolaire protège votre enfant contre les dommages causés ou subis à l’école, au collège ou au lycée :

 

  • Pendant les activités scolaires et le trajet entre le domicile et l’école, aller et retour
  • 24h sur 24, en tout lieu et sur toute l’année, y compris pendant les activités de loisirs et les périodes de vacances

 

Elle doit comporter au moins les 2 garanties suivantes :

 

  • La garantie responsabilité civile qui couvre les dommages causés par l’enfant
  • La garantie accident corporel qui couvre les dommages subis par l’enfant, y compris s’il se blesse lui-même.

 

Le contrat d’assurance scolaire peut également proposer des garanties complémentaires (racket ou vols divers, services d’assistance permettant à un enfant malade de poursuivre sa scolarité à domicile).

 

Pour toutes les activités scolaires obligatoires, c’est-à-dire celles inscrites dans l’emploi du temps de l’enfant, vous n’êtes pas obligé de souscrire une assurance scolaire pour votre enfant. L’assurance scolaire devient facultative.
Par exemple, pour une sortie à la piscine ou au gymnase, l’assurance scolaire n’est pas obligatoire.

 

En revanche, elle sera exigée pour les activités facultatives organisées par l’établissement (visite d’un musée, séjour linguistique, classes de découverte…).
Par contre, si votre enfant fréquente la cantine scolaire, vous devez également souscrire une assurance scolaire. C’est aussi le cas si votre enfant participe aux activités organisées par les communes après le temps scolaire (études surveillées, activités culturelles ou sportives).

Les solutions d’accueil après l’école

 

La question de la garde des enfants après l’école se pose pour de nombreuses familles. Plusieurs possibilités :

 

  • Le babysitting et les assistantes maternelles pour les petits de maternelle
  • La famille et les proches pour les plus grands (grands parents, oncles et tantes ..).
  • Les accueils de loisirs périscolaires mis en place par la commune ou par une association permettent l’accueil des enfants dans de bonnes conditions.
  • Aide aux devoirs et soutien scolaire et éducatif : A partir de l’école primaire, des aides aux devoirs ou des études surveillées permettent aux enfants de réviser les leçons avec l’aide d’un adulte (enseignant ou étudiant).
  • Des activités sportives et culturelles encadrées : de nombreux organismes proposent des activités physiques, culturelles ou encore artistiques encadrées.

 

En fonction de votre situation familiale et de vos ressources, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une aide financière de votre Caf, du CCAS ou du Comité Social de votre entreprise.